En Afrique subsaharienne, la question de l’insécurité est devenue un sujet préoccupant pour de nombreux Pays. Les gouvernements et leurs peuples sont confrontés à plusieurs défis sécuritaires à relever. En plus de l’insécurité qu’il faut combattre, la question du développement endogène reste un sujet préoccupant. Pourtant un Pays sous emprise terroriste ne peut espérer à un développement économique. Au Mali, au Burkina Faso tout comme au Niger, des militaires ont pris leurs responsabilités pour combattre parallèlement l’insécurité et le sous-développement.
Dans certains pays frontaliers de ces Pays dont nous avons pu entrer en contact avec les populations et des militaires et que nous allons taire les noms, le terrorisme à commencé ces derniers mois à frapper les populations et l’armée. Pourtant, aucun communiqué des autorités ni la presse ne fait part de ses informations.
Devront-ils attendre que la situation devienne intenable avant de réagir ? Ce n’est pas la bonne méthode!
Nous appelons tous les peuples africains à l’UNION parce qu’un seul pays ne pourra combattre le terrorisme. Il est donc impératif pour tous les Pays touchés ou qui sont sur le point d’être attaqués de se joindre à l’AES afin de conjuguer ensemble nos forces pour trouver des solutions concrètes au terrorisme et au sous-développement.
Le terrorisme est un mal qu’il faut combattre par nous même et par notre propre capacité. Personne ne viendra mourir à notre place, comme le disait le Capitaine Ibrahim TRAORE, Chef d’État burkinabè. Il est donc nécessaire pour nous de reconsidérer la position actuelle de nos armées et de nous mettre au travail ensemble. infoduburkina.net
